Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville de vanves - Page 248

  • UN BUDGET 2022 DE VANVES VOTE SUR FOND DE CRISE, NON PAS SANITAIRE, MAIS GUERRIEREE AVEC SES CONSEQUENCES

    Le conseil municipal a donc voté mercredi dernier son budget 2022, les marcheurs s’étant abstenu et les écologistes ayant voté conte. Il se monte à 44,5 M€ en fonctionnement et 26,5 M€ en investissement. «Un optimisme raisonnable conduit notre mandat, avec une politique d’équipement pour préserver nottre attractivité. Il s’inscrit dans une reprise de la croissance, avec ces 26,5 M€ d’investissement,  ce qui représente un message d’espoir pour l’avenir. Alors que la guerre en Ukraine apporte son lot d’incertitude avec l’apparition de graves pénuries qui doivent nous conduire à la prudence, et le retour de l’inflation  qui doit nous conduire à veiller aux populations sensible» a déclaré Bernard Gauducheau en ouverture des débats avec la présentation détaillé de Bertrand Voisine maire adjoint chargé des finances.

    «Ce budget apparait ambitieux. On aurait pu avoir d’autres priorité en renforçant la qualité environnementale, en développant la polyvalence des équipements» a jugé Pierre Toulouse (EELV) qui a insisté sur l’accompagnement des personnes fragiles en matière sociale. «Le budget est de nouveau impacté par la crise sanitaire,  les conséquences de la guerre en Ukraine, la suppression de la taxe d’habitation» a noté Jean cyril Le Goff (LREM) qui a noté une baisse de l’effort de la ville sur la santé et sur la citoyenneté. Sandrine Bourg (LR) maire adjointe à la solidarité a salué « le travail irréprochable du CCAS » en constatant « qu’il méne des actions innovantes. Mais on a des difficultés de recrutement dans les services, accentués par les effets de la crise du COVID-19, et des gens qui ne souhaitent pas travailler ans les mêmes conditions qu’avant»

    A l’occasion de ce conseil municipal, les élus ont voté, à l'unanimité,  une subvention de 15 000 € au Fonds d’Action Extérieure des Collectivités Locales (FAGECO) au titre de la situation humanitaire en Ukraine. «3,6 millions d’ukrainins ont fuit leur pays. Vanves prend sa part à l’élan de solidarité ! » a déclaré le maire en donnant  quelques chiffres : 5 palettes de 150 kg ont pu être envoyé en Ukraine grâce à la collecte organisée depuis le 7  Mars au  centre administratif.  «La ville a proposé un logement à la préfecture pour accueillir une famille » a indiqué Bernard Gauducheau. Aurélie Zaluski (EELV)  a exprimée le souhait que cette générosité s’adresse à d’autres populations. Jean Cyril Le Goff (LREM) s’st félicité de cette cohésion municipale

  • UN CONSEIL MUNICIPAL DE VANVES AVEC UN MAIRE PARTICULIEREMENT IRRITE ET IRRITABLE

    Comme chaque année, ce conseil municipal de la fin Mars, est le plus important puisqu’il vote le budget municipal, sans problème avec un vote contre des écologistes et une abstention des marcheurs en présence de Gabriel Attal qui malgré un emploi du temps trés chargé en cette période pour le porte parole du gouvernement, s‘attache à être présent à chaque coneil municipal comme ce 23 Mars sur lequel le Blog reviendra en détail bien sûr

    Mais ce soir là, dans la salle La Palestre, Bernard Gauducheau n’a pas mâché ses mots vis à vis de ses opposants. Cela a commencé avec le contrat de relance du logement qui permet à la ville de Vanves de toucher, de l’Etat, 1500 € par logement créés, dans la mesure où elle s’est donnée comme objectif de crééer 420 logements par an (dont 35 sociaux) comme l’a expliqué Pascal Vertanessian maire adjoint à l’urbanisme qui en a profité pour donner le taux de logements sociaux à Vanves : 24,71%. «Tout cela apparait comme une course à l’échalotte pour obtenir une aide » ont remarqué les écologistes. «Cela met chacun devant ses responsabilités  sur le développement urbain ! Il va falloir que l’on résolve la quadrature du cercle. Car on a besoin de logements en Ile de France. Et le gouvernement a mis en place ce plan de relance pour aider à la création e logements. Et beaucoup de nos concitoyens ont besoin de se loger» constatait le maire qui a commencé  à déraper en s’en prenant à ses colporteurs de ragots sur le bétonnage à outrance perpétré par la ville, en s’inscrivant en faux et en posant la question : «Sinon, on fait comment ? On ne fera jamais la campagne à la ville ! » - «Mais la question est la nature des projets ! Et l’anticipation de l’arrivée de commerces et de services » répliquaient les écologistes, en ayant à l’esprit ce quartier du clos Montholon (où rien n’a été prévu). « On ne peut pas ne rien faire ! » ajoutait le maire, plus ou moins soutenu par Gabriel Attal (LREM) qui expliquait « qu’il y a un besoin de construire et qu ec’est compatible avec une réduction de l’artificialisation des sols, et qu’il est possible de transformer des bureaux en logements. C’est l’objectif de ce plan de relance du logement du gouvernement pour montrer aux collectivités locales qu’il est à leurs côtés !» .

    L’iritation du maire est vraiment apparue lorsque Séverine Edou (LREM) à posé une question sur les problèmes d’amiante dans certaines écoles de Vanves (Larmeroux, Marceau, et Le Parc)  dont a fait état le Parisien lundi dernier, à la suite d’une longue enquête d’un parent d’élève Laurent Delrieu et de procédures pour lever l’opacité de la municipalité. « Merci de nous rappeler à nos obligations qui nous auraient échappés » n’a pas manqué de de dire Bernard Gauduchau en donnant la parole à Pascal Vertanessian. Mais contrairement à l’habitude, alors que la réponse aux questions orales ne suscite aucun débat, il n’a pas pu s’empêcher d’apporter un commentaire acerbe, en rendant hommage aux services techniques : « Je regrette que des individus se prévalent d’informer la population et la presse, pour justement l’affoler. Je les invite à prenre contact avec nos services et d’être patient quant aux réponses à apporter ! ». C’est exactement ce qu’a fait ce vanvéen, tout à fait sérieux et sans arrière pensée politique, que la santé de ses enfants, sans grand résultat jusqu’au moment où il a dû actionner des procédures tout à fait légales et officielles pour lever l’opacité entretenu par la ville qui n’a qu’à s’en prendre à elle-même, puisque le maire aurait pu l’éviter.

  • DES REFUGIES UKRAINIENS ACCUEILLIS AUX PORTES DE VANVES APRES 30 H D’EXODE

    Ouvert depuis maintenant une semaine, les réfugiés ukrainiens sont accueillis tout prés de Vanves dans une partie du hall 2 du parc des expositions de la porte de Versailles, le long du tram T2, avenue Ernest Renan. Son objecfif est d’aiguiller les réfugiés ukrainiens dépourvus de tout repère à leur arrivée à Paris, après de 30 H de voyages à travers toute l’Europe pour fuir les bombardements .  Les lieux sont gérés par l’Etat grâce à, la mobilisation de plusieurs associations :  France Terre d'Asile, Coallia, Croix Rouge Française, Armée du Salut… avec l’appui de la ville de Paris. Cet espace fait office de lieu d’accueil unique, permettant une prise en charge complére allant de l’hébergement à l’appui aux démarches administratives, avec un accompagnement sanitaire et humanitaire

    Les visages des réfugiés ukrainiens – surtout des femmes, des enfants - que l'on peut apercevoir dans la file d'attente, à l'entrée, traduisent l'épuisement causé par un périple de plusieurs jours. Les traits sont tirés, certains visages sont fermés. Une fois entrés, ils trouvent dans ce centre de quoi s'hydrater, se restaurer et souffler. La plupart suivent un circuit bien organisé pour les démarches administratives afin d’obtenir un titre de séjour, trouver une solution d’accueil, bénéficier d’une évaluation sociale, sanitaire et psychologique, patientant sur des chaises, avec leurs valises, leurs sacs, et étonnant, des paniers pour transporter leur chat. «Je trouve que c'est vraiment bien organisé pour les enfants. Il y a de la nourriture pour les enfants. On peut rester ici toute la journée. Nous avons tout ce dont nous avons besoin» témoignait une femme

    Marléne Schiappa ministre est venu rendre aux équipes mobilisées dans ce centre hier matin qui accueille prés d’un millier de réfugiés chaque jour contre 350 il y a peu. «Notre vocation, c'est tous les soirs d'essayer de remplir ce dispositif au maximum de sa capacité et le lendemain de le vider pour accueillir de nouvelles personnes et refaire le même processus d'enregistrement, d'orientation vers notamment les villes de province ou des lieux d'hébergement plus pérennes» lui a  expliqué l’un des responsables de ce centre d’accueil qui a permis de trouver des solutions pour héberger 4 016 personnes dans différentes structures mobiliséees en Ile de France grâce notamment à de nombreuses communes qui se sont mobilisées, et transférées 1207 personnnes vers des structuresd’accueil en région. «26.000 réfugiés sont arrivés en France depuis le début de l'invasion russe.10.500 ressortissants ukrainiens avaient reçu une autorisation de séjour provisoire en France» a-t-elle indiquée en précisant que le chef de l’Etat a demandé de mettre en place un plan pour accueillir 100 000 réfugiés, dont une partie passera par ce centre de transit installé aux portes de Vanves